Les lois de la réputation.
De la reconnaissance à la notoriété

Nicolas Journet

Sciences Humaines N° 278 - Février 2016

Éloges, critiques, opinions et épithètes, récits et anecdotes : tout ce que l’on dit de vous lorsque vous êtes absent contient l’embryon d’une réputation. Si elle se fixe et se partage dans un réseau de collègues, de voisins ou de relations, ce sera cette image qu’un inconnu, même sans vous rencontrer, aura de vous. Aujourd’hui, cet objet difficile à contrôler n’est plus seulement le nom des commérages à la veillée et des propos de salons. Que ce soit par médias interposés, ou plus encore, par l’accès direct et potentiellement illimité aux réseaux numériques, les réputations qui se font ne ressemblent plus aux précédentes. Au moindre clic sur Internet, chaque personne, chaque produit, chaque acteur du marché peut être évalué, sollicité, « liké » ou « disliké », et sa réputation devenir « virale ». La médaille a comme toujours deux faces : celle de la célébrité à portée de main et celle du « bad buzz » catastrophique. Mieux vaut en connaître les règles.

Abonnez-vous
Vous n'êtes pas encore abonné ?

Découvrez notre offre Digital + Archives avec 50% de réduction pour un premier abonnement à Sciences Humaines !

Toutes nos formules d'abonnement vous permettent désormais d'accéder à cet article et à toutes les archives de Sciences Humaines (plus de 30 000 articles parus depuis 1990) !

Vous êtes déjà abonné ?

Connectez-vous
Numéros en cours
Le but des commentaires est de permettre un échange entre les auteurs et les lecteurs de Sciences Humaines. Chaque commentaire proposé sur le site est soumis à une modération. Pour en savoir plus sur les règles et traitement des données personnelles liées aux commentaires, consulter notre politique de confidentialité.
* Champ obligatoire